Le collectif 2023

Découvrez ici qui compose le collectif Caravinski II

Laetitia Larralde

Diplômée de l’école Camondo en architecture intérieure, j’ai développé en parallèle mon activité d’illustratrice et autrice de bande dessinée. Aujourd’hui, la gravure relie nombre de mes centres d’intérêt : l’image, le dessin, le livre, la bande dessinée et le Japon, dont l’influence se retrouve fréquemment dans mon travail.

Roseline Durand

Après m’être penchée sur les œuvres des autres, en tant que restauratrice-conservateur de documents graphiques, j’agis dans le cadre des miennes passionnément, peintre, enseignante en milieu plurilingue et maintenant graveuse.

Michele Ganzarolli

Architecte de formation, je suis intéressé par la représentation en toutes ses formes. Je travaille sur la thématique de la densité urbaine et humaine dans des villes méditerranéennes. Que ce soit avec les techniques de tailles douces ou de taille d’épargne je cherche à travailler le plein, le vide, l’ombre et lumière.

Rumiko Gaillard

Japonaise, résident en France depuis 1996, j’ai débuté en 2010 mon activité artistique en intégrant deux collectifs franciliens. Jusqu’à présent, mon matériau de travail principal était le tissu traditionnel d’origine japonaise, que je fais « revivre », en volumes. Les techniques
de gravure et d’impression, que je voudrais associer à mon travail du tissu, m’ouvrent aujourd’hui de nouveaux horizons artistiques.

Roberto Ati

Fasciné depuis toujours par la force des images ainsi que par leurs techniques de reproduction c’est tout naturellement que je me suis initié à la gravure. La recherche d’adéquation entre sujet et support m’a amené à dessiner des images telles que les gueux de Jaques Callot ou Brueghel sur des matériaux mis au rebut comme le Tetra Pak©. Je poursuis l’exploration de ce matériau pour sa richesse plastique et l’immédiateté de sa mise en œuvre qui contraste avec la « pauvreté » de ce support sans pour autant exclure la taille d’épargne sur bois ou lino et la taille douce.

Julien Mélique

Son approche :

Prendre une planche,
du carton ou alors une tôle,
Enfin, une matière relativement plane,
si possible pas trop épaisse.
Commencer timidement,
la caresser, la gratter.
Voir si elle réagit
et puis … y mettre de l’encre,
et la presser sous un papier.

Que dit-elle ?

Je continue à la taquiner,
Avec des accessoires aussi parfois.
Je la remets sous la presse,
La couche sous un autre papier
pour la traduire. Être à l’écoute.
Se laisser guider, curieux :
la matière raconte.
Chacun de ses états utilise et transforme l’état précèdent.

L’évolution est définitive et irréversible.

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